Voilà à nouveau un feedback concernant la nouvelle console de Microsoft. Tout d’abord, j’aimerais dire un mot à propos de la reconnaissance vocale : c’est un gadget assez amusant mais contrairement à notre ami Yusef, la console ne comprend pas toujours ce qu’on lui dit. Certes, il y a des commandes très simples qui ne posent pas de problème : par exemple, dire “Xbox Utiliser un code” ou “Xbox Skype” s’avère très facile.
En revanche, je n’ai toujours pas réussi à éteindre la console du premier coup, ni à l’allumer avec ma charmante voix. Il faudra réessayer… Peut-être suis-je aussi doué que Kripke quand il essaie d’utiliser Siri sur iPhone ? (petit clin d’œil).
D’abord, regardons ensemble la nouvelle manette. C’est clairement l’un des points forts de la console. Niveau design, elle a peu évolué, même si les boutons X, Y, A et B sont plus lisibles, et que la forme est un peu différente de la précédente. Elle dispose de LEDs qui permettent de se synchroniser avec Kinect afin de reconnaitre le joueur et donc définir sa position dans les jeux à écrans divisés.
La prise en main est toujours aussi agréable grâce à son côté rugueux. Les gâchettes arrière viennent bien sous les doigts, et le fait qu’elles vibrent apporte des sensations supplémentaires et une immersion accrue. Attention que les gâchettes LB et RB sont plus courtes et pas entièrement “cliquables”. Pour ceux qui avaient l’habitude de placer les doigts plus proche du centre, cela pourrait les surprendre.
Un petit défaut est présent ; c’est plutôt un bruit. En effet, lors de l’utilisation des flèches directionnelles, j’ai pu constater un bruit de ressort. A vrai dire, à l’utilisation, je n’ai pas entendu grand chose lorsque j’étais dans une partie (Killer Instinct ou FIFA). Cela dit, elles fonctionnent parfaitement et le bruit semble diminuer au fur et à mesure qu’on les utilise. Affaire à suivre… de loin !
Passons maintenant au jeu ! Comme ils ont enfin fini de s’installer, je décide de lancer Forza en premier (eh oui, c’est quand même celui qui est censé être l’exclu de la sortie). Comme je l’ai déjà souligné dans l’article précédent, aucun problème n’est survenu lorsque j’ai inséré le disque dans le lecteur. Le jeu se lance et on arrive sur le menu principal (sauf si on a décidé de se lancer dans le premier championnat).
Le menu donne accès à plusieurs options, dont la carrière. On peut également accéder aux améliorations pour nos véhicules, peindre une voiture, configurer son profil, lire les messages liés au jeu, acheter du contenu sur le marché, etc. Petit truc bien pratique : il est possible d’effectuer d’autres opérations dans notre système lorsque l’on est en jeu. Soit on appuie sur le bouton central de la manette, soit on peut dire “Xbox Aller à l’accueil”.
Bien que le système réagisse bien lors du retour à l’accueil, quelques ralentissements sont constatés lorsqu’on utilise une autre fonction. Cela dit, c’est tout à fait faisable de lancer Skype alors que le jeu est toujours en cours d’exécution. Enfin, avec la reconnaissance vocale, il est théoriquement possible de revenir au jeu sans utiliser la manette. A vrai dire, je n’ai pas su trouver la bonne commande, je crois qu’il serait utile de se renseigner sur cette fonctionnalité. J’ai donc utilisé la bonne vieille touche “A”, qui est tout aussi efficace.
De retour dans le jeu, je lance la carrière et je me retrouve nez à nez avec ma gentille voiture. Comment pourrait-on ne pas remarquer la différence graphique, qui est bluffante. Les voitures sont tout simplement magnifiques. En regardant bien, il y a un léger aliasing, mais il faut avoir un bon œil pour s’en rendre compte. Pour commencer, j’ai un peu choisi au hasard. Voici ma Toyota, repeinte… Mais pas par mes soins : j’ai téléchargé une peinture réalisée par un membre de la communauté du jeu. Tout comme dans le précédent volet, on peut en créer soi-même.
Malgré le fait qu’il n’y ait que 14 environnements pour l’instant, on ne risque pas d’être lésé par ce manque. De multiples championnats existent et proposent donc de conduire différentes voitures, sur les circuits proposés. Espérons qu’avec le temps, ils proposent des DLC à prix démocratique avec du contenu supplémentaire, bien qu’il faudra sans doute un certain nombre d’heures avant de maitriser ceux qui sont présents.
Les voitures que vous achetez sont disponibles dans l’option “Mes voitures”. Il s’agit de votre garage. Pour le moment, le mien n’est pas bien rempli, comme je viens tout juste de commencer.
Comme d’habitude, les paramètres de difficulté permettent de bénéficier de plus ou moins de gains : par exemple, le fait de désactiver l’ABS permet de gagner beaucoup plus que si on le laisse activé. Le fait de rembobiner en pleine course retirera jusqu’à 25 % de la somme gagnée, selon le nombre de retours effectués. D’ailleurs, cette fonctionnalité est vraiment intéressante pour des personnes comme moi qui ont commencé à s’entrainer il y a peu de temps sur le volet précédent.
Concernant la course, comment vous le dire ? C’est simplement superbe : une fluidité impeccable et un décor époustouflant. Même si certains diront qu’il ne s’agit que d’un jeu de course, la claque est bel et bien là. Il s’agit là d’un titre bien fini, et qui fait honneur à la console qui le fait tourner. C’est un bon début pour la Xbox One, merci Microsoft, merci Turn 10.
Ceci pourrait aider pour la reconnaissance vocale : la liste des commandes.
Vincent Lecomte ne cite pas ses sources. Bouuuh Vinvent, Bouuuuh!
Oui pardon c'est toi qui as fait la blague avec Kripke ! 'scuse moi <3
Bon très bien, dans ma grande magnanimité je te pardonne <3
Les commandes vocales fonctionnent assez bien pour nous. On arrive à avec Xbox Eteignez mais pas moyen d'y arriver avec Xbox Démarrez. Alors que la console est en veille et pas éteinte.
Figure toi que j'ai réussi à la faire s'éteindre avec Xbox Eteignez (la 1ère fois elle a rien voulu savoir, puis j'ai répété plus fort). Pour démarrer oui j'ai vu qu'il fallait être en veille et pas en arrêt complet, mais je sais pas combien elle consomme dans le mode "instantané" donc j'me méfie.