Lors du passage à DSM 7, de nombreux paquets fournis par la communauté de développeurs SynoCommunity ne fonctionnaient plus. Le système empêche l’installation d’un certain nombre d’entre elles. Pour en savoir plus, on peut retrouver une liste des paquets SynoCommunity compatibles sur GitHub.
Dans la dernière version de son système d’exploitation Synology a opéré de nombreux changements ce qui a freiné le développement. Le principal problème était dû à une modification dans le fonctionnement du système de permissions, qui est bien plus restrictif. Synology évoque une sécurité accrue.
Sur la liste en question on constate que de nombreuses applications sont désormais disponibles, comme Transmission (utilitaire pour télécharger des torrents). Si vous aviez choisi d’en installer certaines à l’aide de Docker, ce n’est donc plus nécessaire. Préférez les versions natives.
Si vous ne savez pas comment installer une application de la SynoCommunity, voici comment procéder:
Connectez-vous à DSM à l’aide de votre navigateur.
Ouvrez le Centre de paquets.
Cliquez sur le bouton Paramètres.
Dans Sources de paquets, ajoutez un nouvel élément.
Saisissez le nom et indiquez l’URL suivante : https://packages.synocommunity.com.
Confirmez deux fois par OK.
Le centre de paquets se mettra à jour et un nouvel onglet SynoCommunity apparaitra à gauche. Sélectionnez-le pour afficher tous les paquets. Si vous ne voyez pas les versions bêta, retournez dans les paramètres et cochez la case à ce sujet dans l’onglet Général.
En passant à la nouvelle version de DSM sur mon NAS Synology DS920+, je souhaitais conserver Transmission. Cependant, le paquet natif proposé par SynoCommunity n’est pas encore prêt, notamment à cause des nouvelles restrictions de sécurité.
Je me suis donc basé sur un très bon article rédigé par Marius Bogdan Lixandru : How to install Transmission on your Synology NAS. La solution est donc de passer par un conteneur Docker et de réaliser l’installation en exécutant une simple commande. J’en ai profité pour adapter celle-ci par rapport à mon utilisation.
Pré-requis
Il faut évidemment installer Docker sur votre NAS depuis le Centre de paquets. Une fois installé, un nouveau dossier sera créé.
Depuis DSM ouvrez File Station et allez dans le dossier docker. Créez-y le sous-dossier transmission. Ouvrez ce dernier puis créez cette fois trois sous-dossiers:
data
downloads
watch
Ce qui donne la structure suivante:
On peut alors passer à l’étape suivante.
Installer Transmission sur votre NAS
Pour effectuer l’installation, il faudra exécuter une commande. Vous pouvez effectuer cela en ouvrant une connexion SSH sur votre NAS. Cependant on peut aussi lancer une commande via… le planificateur de tâches!
Lors de la création choisissez l’exécution en tant que root dans l’onglet Général.
Quelques informations qui nécessitent notre attention:
Le commutateur « p » permet de déterminer les ports à utiliser sur le système par rapport à ceux utilisés par le conteneur (mapping des ports).
Le commutateur « e » permet de définir des variables d’environnement.
Les variables PUID et PGID sont respectivement les identifiants d’utilisateur et de groupe. Ils peuvent être obtenus à l’aide de la commande « id ». Vous ne savez pas comment faire? Vous pouvez suivre le tutoriel ici.
Si vous définissez USER et PASS, ils vous seront demandés lors de la connexion à l’interface web (ou via RPC). Ces paramètres sont facultatifs, bien que recommandés.
La variable TZ permet de définir le fuseau horaire. Dans notre cas nous avons choisi Europe/Bruxelles.
Enfin la variable TRANSMISSION_WEB_HOME (c’est optionnel) permet de définir le thème à utiliser pour l’interface web. On a le choix entre Combustion, Transmission Web Control, Kettu et Flood for Transmission.
Le commutateur « v » permet de lier un dossier de votre volume à un dossier du conteneur.
On enregistrera la configuration dans le dossier data créé lors de la première étape. Quant aux téléchargements nous les stockerons dans downloads.
On définit également la politique de redémarrage (voir la documentation). Ainsi on peut faire en sorte que le conteneur redémarre automatiquement lorsqu’il est planté.
L’image Docker est fournie par linuxserver.io. Une documentation détaillée est disponible en suivant le lien.
Si vous avez installé Pi-hole sur votre Synology, sachez qu’il est possible de procéder à sa mise à jour via l’interface de Docker plutôt que par invite de commandes. Cela ne nécessite que quelques minutes. Voyons ensemble comment faire.
Au préalable
Vérifiez tout d’abord s’il existe bien une mise à jour de l’image sur la page de Docker Hub, ensuite connectez-vous à DSM et accédez à l’application Docker.
Ensuite depuis l’onglet Conteneur, sélectionnez celui de Pi-hole puis cliquez sur le bouton Détails. Dans la vue d’ensemble, assurez-vous d’avoir configuré les chemins pour stocker la configuration dans un dossier partagé de votre NAS (sous-onglet Volume en bas à gauche). Ainsi vous êtes certain de ne pas perdre vos paramètres lors de l’étape d’effacement.
Lorsque cette simple étape de vérification est effectuée, fermez la fenêtre de détails.
Mise à jour de Pi-hole via Docker
Rendez-vous dans l’onglet Registre de Docker. Recherchez l’image de Pi-hole, sélectionnez là dans la liste (pihole/pihole), puis cliquez sur le bouton Télécharger. Patientez un moment, le téléchargement peut prendre quelques secondes à quelques minutes en fonction de votre connexion internet. En effet l’image pèse plus de 330 Mo.
Une fois que DSM affiche la notification de téléchargement terminé, rendez-vous cette fois dans l’onglet Conteneur. Arrêtez ensuite Pi-hole (cliquez sur le bouton Action puis choisissez Arrêt). Lors de cette étape il est intéressant d’avoir un serveur DNS secondaire configuré sur vos périphériques – par exemple une autre instance de Pi-hole -, ainsi vous ne perdrez pas l’accès à internet.
Une fois le conteneur arrêté, cliquez à nouveau sur le bouton Action puis choisissez l’option Effacer. Lorsque l’avertissement s’affiche, confirmez. Patientez quelques secondes. Ensuite relancez le conteneur, accédez à l’interface de Pi-hole et vérifiez que la mise à jour s’est bien déroulée en consultant le numéro de version en bas de page.
Une fonctionnalité intéressante proposée par le boitier multimédia est le fait de pouvoir monter des emplacements réseau. Votre Shield pourra ainsi aller lire et récupérer des fichiers sur ceux-ci. Dans ce tutoriel nous allons voir comment créer un dossier partagé sur votre NAS pour votre Nvidia Shield TV, comment l’ajouter sur celle-ci et en parcourir le contenu.
Pour les exemples repris dans ce dossier je dispose d’un NAS Synology DS920+ sous DSM 6.2.3 update 3. Ma Shield TV 2019 format « Tube » possède le dernier firmware, à savoir la version 8.2.2.
Créer un utilisateur sur le NAS
Au préalable il vous faudra créer un utilisateur sur votre NAS. Ouvrez un navigateur et accédez à DSM. Lancez ensuite le panneau de configuration puis choisissez la catégorie Utilisateur. Cliquez sur le bouton Créer. Donnez un nom – par exemple « shield » – et définissez un mot de passe.
Sur les écrans suivants :
Indiquez l’appartenance au groupe : choisissez users.
Déterminez les accès aux dossiers partagés existants. Par défaut aucun accès ne sera appliqué.
Déterminez le quota autorisé par dossier. Dans notre cas cela n’a pas d’intérêt car la Shield ne pourra pas écrire sur l’emplacement monté.
Attribuez les permissions liées à l’utilisation des applications. Comme il s’agit d’un utilisateur pour votre boitier multimédia, il n’y a pas d’intérêt à donner les accès à DSM voire au FTP. Vous pouvez donc refuser pour l’ensemble des applications proposées.
Lorsque le résumé s’affiche, vérifiez l’ensemble des informations et si cela vous semble bon, confirmez le processus de création.
Créer un dossier partagé
Toujours sur votre NAS vous devez maintenant créer un dossier partagé.
Depuis le panneau de configuration vous devez cette fois vous rendre dans Dossier partagé sur la gauche. Ensuite cliquez sur le bouton Créer. Donnez un nom à votre dossier (par exemple « Shield ») et confirmez avec les paramètres par défaut.
Il est important de ne pas cocher la case « Cacher ce dossier partagé dans Mes emplacements réseaux ». En effet le dossier sera alors invisible et la connexion échouera.
Une fois le dossier créé nous allons lui attribuer les permissions d’accès. Sélectionnez le dossier fraichement créé puis cliquez sur le bouton Modifier puis sur l’onglet Permissions. Dans cet onglet vous pouvez définir les accès pour des utilisateurs mais aussi pour des groupes. Choisissez les personnes qui pourront déposer du contenu dans ce dossier. Choisissez la lecture seule pour l’utilisateur « shield » créé ci-dessus.
Confirmez par OK et passez à l’étape suivante.
Vérifier la configuration de SMB
Afin d’éviter tout problème de connexion, il est recommande de vérifier votre configuration de SMB sur votre NAS. Cela se fait toujours depuis le panneau de configuration. Rendez-vous dans la catégorie Services de fichiers. Dans un précédent article c’était ici même que nous activions le protocole NFS pour Kodi.
Pour SMB, nous avons tout laissé par défaut (groupe de travail = WORKGROUP, accès autorisé aux versions précédentes). Vous pouvez également vérifier les Paramètres avancés.
Pour une utilisation basique toutes les options de cette fenêtre doivent rester décochées. Nous avons défini la version SMB3 comme protocole maximum et SMB2 en tant que protocole minimum. Le mode de chiffrement du transport reste sur la valeur Automatique.
Une fois que tout ceci est vérifié, cliquez sur le bouton Appliquer (sauf si rien n’a été modifié).
Monter le stockage sur votre Shield
Sur votre Nvidia Shield, accédez aux paramètres via la roue crantée en haut à droite de l’écran d’accueil. Cela ouvre les paramètres en superposition.
Ensuite effectuez les opérations suivantes :
Accédez aux Préférences relatives à l’appareil.
Ouvrez la catégorie Stockage.
Choisissez l’option Monter un stockage réseau.
Si tout s’est bien passé votre NAS devrait être repris dans la liste.
Si c’est le cas choisissez le NAS puis « Se connecter en tant qu’utilisateur inscrit« . Saisissez le nom d’utilisateur et le mot de passe.
Si ce n’est pas le cas, utilisez l’option « Ajouter manuellement un stockage réseau »
Saisissez à la première étape, le chemin du dossier (ex : \\mon-nas\Shield)
La seconde étape vous demande le groupe de travail : WORKGROUP (voir la configuration de SMB sur votre NAS)
Choisissez ensuite de vous connecter en tant qu’utilisateur inscrit. Saisissez le nom d’utilisateur et le mot de passe.
Si l’une des étapes ci-dessus a fonctionné, le stockage réseau devrait apparaitre dans la liste avec la mention « Connecté« . Si ce n’est pas le cas, revérifiez si toutes les étapes de ce tutoriel ont été suivies à la lettre.
Voilà, maintenant que vous possédez toutes les informations nécessaires pour créer un dossier partagé pour votre Nvidia Shield TV, il faut maintenant installer une application pour en explorer le contenu. Pour ma part j’ai choisi X-plore. Elle est disponible sur le Play Store. Elle permet également d’accéder à un service de cloud tel que OneDrive.
Comme je vous l’avais dit j’ai récemment acquis un NAS (un DS920+). Il me sert à stocker des documents mais également des vidéos que je lis sur Kodi, depuis une box Android Nvidia Shield. Pour ce faire j’ai suivi un tutoriel (que je ne parviens pas à retrouver, désolé pour les sources) afin de créer un partage NFS sur mon Synology.
Le principal avantage d’utiliser NFS avec Kodi, c’est le fait de ne pas devoir saisir de mot de passe pour ajouter le dossier. Théoriquement ce protocole est aussi plus rapide que SMB.
Activer le protocole NFS
Connectez-vous tout d’abord à DSM. Ensuite accédez au panneau de configuration, et choisissez Services de fichiers.
Dans le premier onglet « SMB/AFP/NFS« , descendez tout en bas et cochez la case « Activer NFS« .
Cliquez ensuite sur le bouton Appliquer.
Créer un dossier partagé
Vous allez maintenant créer un partage NFS sur votre Synology. Pour cela il vous faut d’abord un dossier partagé. Pour ce faire, toujours sous DSM, ouvrez le panneau de configuration dans la section Dossier partagé et cliquez sur Créer.
Créez un dossier qui sera destiné à recevoir vos vidéos. Par exemple, vous pouvez créer deux dossiers différents pour vos films et séries. Inutile de s’attarder sur les options proposées. Désactivez la corbeille si vous ne la jugez pas nécessaire.
Une fois le dossier créé, n’oubliez pas de définir les permissions. Sélectionnez le dossier et cliquez sur Modifier.
Définissez d’abord les permissions pour les accès des utilisateurs. Ouvrez ensuite l’onglet « Autorisation NFS » et cliquez directement sur le bouton Créer. Notez que par défaut la liste des règles est vide.
Dans la fenêtre qui s’ouvre, il faudra spécifier les paramètres du partage.
Il faut définir les informations suivantes:
Le nom d’hôte ou l’IP : il peut s’agit d’un nom, d’une adresse IP seule ou même d’un sous-réseau. Comme nos clients ont une IP qui commence par 192.168.x.x, on peut définir le masque 192.168.0.0/16 ce qui couvre les adresses de 192.168.0.1 à 192.168.255.254. Le CNRS CRIC de Grenoble fournit un outil en ligne pour calculer les masques IPv4.
Les privilèges : dans notre cas on autorisera seulement en lecture seule. Il ne sera ainsi pas possible de supprimer des fichiers ou en ajouter via le protocole NFS.
Le squash : choisissez l’option « Mapper tous les utilisateurs sur admin » pour éviter les problèmes d’accès aux dossiers.
La sécurité : laissez « sys » par défaut.
Ensuite cochez toutes les options dont l’accès asynchrone.
Confirmez deux fois par OK.
Ajouter une source vidéo dans Kodi
Lancez maintenant Kodi pour ajouter une source vidéo.
Rendez vous dans les Paramètres, puis dans la catégorie Médias (Attention que votre interface peut être différente en fonction du thème que vous utilisez). Sous le libellé « Gestion des sources« , choisissez « Vidéos… »
Kodi va lister les sources présentes. Choisissez l’option « Ajouter une source » puis directement « Parcourir« .
Dans la liste il faut sélectionner Protocole réseau de fichiers (NFS).
Un petit délai pourra être constaté avant l’affichage des différents périphériques. Ensuite l’IP de votre NAS devrait apparaitre dans la liste.
Naviguez jusqu’au dossier que vous voulez choisir comme source. Ouvrez celui-ci afin que le chemin affiché en bas soit équivalent à celui du répertoire contenant vos vidéos (ex : nfs://192.168.1.2/MesVideos/). Appuyez ensuite sur OK.
Pour le reste, c’est comme d’habitude : il faudra donner un nom de source et définir ce qu’elle contient (des films, des séries, des concerts, ou même de la musique, ça fonctionne aussi).
Vous savez désormais comment créer un partage NFS sur votre Synology et l’ajouter à Kodi. Bon visionnage !
La nouvelle a été annoncée à quelques clients par e-mail. A partir du 1er novembre 2020, Amazon va supprimer l’accès à Amazon Drive via les applications Synology Cloud Sync et Hyper Backup. Si vous possédez un NAS de la marque et que vous utilisez le service d’Amazon pour stocker vos fichiers, vous devrez donc passer exclusivement par les applications web, PC et mobile.
Cette nouvelle semble relativement récente. D’ailleurs c’est un ami qui m’a communiqué l’information. Certains clients ont donc reçu un mail indiquant l’arrêt de ce service. Il contient les étapes pour expliquer comment installer l’application sur vos périphériques. De plus Amazon fournit un lien vers un article de la base de connaissances Synology qui détaille la procédure à suivre en ce qui concerne le stockage de fichiers chiffrés.
C’est pour moi une déception puisque j’ai acheté un NAS avec comme idée principale de simplifier le stockage de fichiers depuis et vers les différents services de cloud que j’utilise.
Malheureusement ni Amazon ni Synology ne communiquent sur les raisons de la suppression de cet accès. Et la décision ne vise pas que les comptes Prime qui exploitent l’espace illimité qui leur est fourni. En effet les clients qui paient davantage de stockage sont également impactés.
Quel dommage… et quelle incompréhension surtout. Je doute que cette stratégie ait un effet positif. Le risque étant que de nombreux clients envisagent de stocker leurs fichiers ailleurs.
Gratuité de C2 jusque fin mars
Même si Amazon compte supprimer l’accès à son drive sur les NAS Synology tout n’est pas perdu. La marque propose de s’inscrire à son service de backup C2 pour faciliter la transition. Grâce à cela vous bénéficierez de la gratuité jusqu’au 31 mars 2020. Ensuite l’utilisation du service sera facturée à 9,99 € / an pour 100 Go, ou 59,99 € / an pour 1 To. Ces prix sont annoncés HTVA.
De nombreux autres services sont disponibles. Pour le cloud plus traditionnel, je pense principalement à Dropbox ou même Google Drive. Pour des sauvegardes complètes, il est possible de s’orienter vers des solutions comme Microsoft Azure ou Backblaze.
Alors que je maitrise plutôt bien l’installation d’un système d’exploitation Windows, me voilà face à un tout nouvel environnement. Sur les NAS de la marque Synology, le système utilisé est appelé Disk Station Manager. Il est basé sur Linux.
Cet article va expliquer comment effectuer une mise en route du Synology DS920+. En effet il y a quelques jours je vous expliquais avoir acheté ce modèle de la marque, récemment apparu sur leur site.
La marque Synology est réputée pour sa spécialisation dans les périphériques de stockage de type NAS (Network Attached Storage). Récemment le modèle visant à remplacer le DS918+ à 4 baies a été annoncé et est désormais à la vente. Il s’agit du Synology DS920+. Il est disponible à la vente depuis le début du mois […]
En ce qui concerne les disques, j’ai acheté trois Western Digital Red de 4 To chacun (référence WD40EFRX). Une fois ceux-ci installés en suivant le petit manuel fourni dans l’emballage, et le câble RJ45 branché, il est temps de démarrer le NAS.
Lorsque vous entendez le « bip » et que le bouton bleu ne clignote plus, le périphérique est prêt. A l’aide d’un navigateur web il faut y accéder:
Soit en saisissant l’adresse http://diskstation:5001 dans la barre d’adresse.
Cliquez alors sur le bouton « Configurer » afin de passer à l’étape suivante.
Votre NAS va maintenant vous proposer de télécharger la dernière version du système d’exploitation DSM. Vous pouvez soit effectuer l’installation manuellement, soit faire cela de manière entièrement automatique. Pour la mise en route on choisit donc la procédure automatique en cliquant sur « Installer maintenant« .
Au bout de quelques minutes de téléchargement et d’installation, l’appareil redémarre. Cette procédure prend un peu plus de temps que le démarrage normal. Le navigateur rafraichit automatiquement la page lorsque que le NAS est prêt.
Finalisation de l’installation
Vous allez devoir répondre à quelques questions (activation de QuickConnect, création d’un compte administrateur,…) et donner un nom à votre NAS. Notez que vous modifiez le nom, l’adresse diskstation:5001 par défaut ne répondra plus. Il faudra donc revenir sur le navigateur en utilisant la nouvelle URL.
Après avoir franchi les différentes étapes, la page web indique que vous êtes fin prêt à passer à DSM. Ne touchez à rien et cliquez sur le bouton « Exécuter« . Vous arrivez alors sur ce qui ressemble à un bureau, avec quelques icônes ainsi que des widgets qui affichent l’état des ressources.
Acceptez la déclaration de confidentialité d’analyse de périphérique. Cochez la case puis cliquez sur le bouton « OK« .
Création d’un volume
Cliquez ensuite sur le bouton dans le coin supérieur gauche, ensuite choisissez l’élément « Gestionnaire de stockage« . Nous allons maintenant créer le volume dans l’onglet du même nom. Cliquez ensuite sur le bouton « Créer« .
Pour cette mise en route je vous conseille donc de choisir le premier choix proposé, soit le mode rapide. Comme je dispose de 3 disques le mode SHR, propose à la marque, semble convenir à mon usage.
L’étape suivante consiste à indiquer une description pour notre groupe de stockage. C’est facultatif mais autant faire les choses bien. On conserve le choix proposé par l’assistant pour le type de RAID. Ne modifiez que si vous savez ce que vous faites!
Vous devez maintenant choisir le système de fichiers. Le mieux est de laisser l’assistant s’en charger et donc de conserver Btrfs. L’article suivant du site Cachem démontre que l’écart de performances entre les deux systèmes de fichiers est minime, et donc dépendra des fonctionnalités que vous souhaitez exploiter.
Confirmez ensuite les paramètres pour créer le volume.
Le nouveau volume apparait alors dans la liste. Le système effectue alors une vérification de cohérence de la parité. Cela prend quelques heures et il est conseillé d’éviter les grosses opérations sur le NAS. Cette opération sera relancée dans d’autres cas, par exemple en cas de panne de courant ou si un disque doit être remplacé.
Voilà, la mise en route du Synology DS920+ est terminée. N’hésitez pas à explorer les différents menu du panneau de configuration ou même le gestionnaire de paquets afin de vous familiariser avec DSM.
La marque Synology est réputée pour sa spécialisation dans les périphériques de stockage de type NAS (Network Attached Storage). Récemment le modèle visant à remplacer le DS918+ à 4 baies a été annoncé et est désormais à la vente. Il s’agit du Synology DS920+.
Il est disponible à la vente depuis le début du mois de juillet.
Cela faisait un moment que je voulais craquer pour cette méthode de stockage. Malheureusement le budget était un frein. Au fur et à mesure des années j’ai multiplié les disques externes. Évidemment cela n’est pas pratique pour gérer les documents, les vidéos ou les photos.
En ce qui me concerne ce sera également l’occasion de tester la synchronisation avec les différents services de cloud (Microsoft OneDrive, Amazon Drive, etc), le téléchargement automatique/planifié, mais aussi le streaming vidéo avec Plex. Les possibilités sont nombreuses.
Le Synology DS920+ est un NAS de bureau comportant 4 baies pour des disques durs. On retrouve à l’intérieur un processeur Intel Celeron J4215 quad-core cadencé à 2 Ghz (mode turbo à 2,7 Ghz) et 4 Go de RAM (extensibles).
Au niveau de la connectique on retrouve deux ports USB 3.0, deux ports Gigabit Ethernet, un port eSATA et deux ports M.2 pour des SSD NVMe. La marque ne propose pas encore de 2,5GbE ce qui pourrait en freiner quelques-uns ou les envoyer vers la concurrence.
D’ici quelques jours je pourrai vous raconter mon expérience puisque je le reçois prochainement! Vous découvrirez mes premiers pas sous DSM et peut-être quelques tutoriels pour l’installation.
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